Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes ou sur Twitter. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Premier bilan à mi-parcours : Planche-contact : mots clés
Il s’en trouve toujours un pour prendre le relais du précédent. Plus tension ni fils contradictoires – à force de lier-lien-nouer-réunir. Heures, porteuses de miroirs, endroits possibles et imaginables. À contempler fleurs ou nuages une force douce peut venir. Il y a l’art pariétal, la montée des eaux, les gagnants du loto, la nuit sombre des tempêtes. Je n’ai rien de particulier. J’aime tout ce que fait le ciel à n’importe quel moment. Cassé fil trop fragile trop tendu comme une apnée soudaine comme un silence.
Il s’en trouve toujours un pour prendre le relais du précédent. Du vent dans les haubans (Elizabeth Legros Chapuis, Fragmentaire)
Plus tension ni fils contradictoires – à force de lier-lien-nouer-réunir. Permanence (Christine Jeanney)
Heures, porteuses de miroirs, endroits possibles et imaginables. déplier le monde (Mathilde Roux)
À contempler fleurs ou nuages une force douce peut venir. baleine paysage 221 (Maryse Hache)
Il y a l’art pariétal, la montée des eaux, les gagnants du loto, la nuit sombre des tempêtes. Il y a les officiers de réserve (Jean Prod’hom, Les marges)
Je n’ai rien de particulier. J’aime tout ce que fait le ciel à n’importe quel moment. Amoureux de la nature, ou quelque chose, de Richard Brautigan (Fabienne Swiatly, Remue.net)
Cassé fil trop fragile trop tendu comme une apnée soudaine comme un silence. Quelque chose manquait (L’imparfait)