Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilParti trop vite, pas de livre ni de carnet avec moi. Je ne prends plus le train aussi régulièrement qu’avant. Je laisse divaguer mon esprit en regardant défiler les paysages de cette banlieue que je connais depuis l’enfance. Les changements dans le paysage. Avec le temps. Les nuages dans le ciel me laissent rêveur. Je pense à demain, à l’atelier d’Argenteuil. Mon père a changé de voiture. C’est la même voiture, seule la couleur a changé. Devant la gare, il est resté à l’intérieur de l’habitacle. D’où (...)