Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn voyant la photographie ci-dessous Martine Silber me rappelle la série Lost du photographe anglais Stephen Gill.
Un portfolio que j’avais découvert il y a quelques années et qui est à l’origine d’une série de photographies sur le même sujet que je souhaite développer au fil du temps, avec l’idée de les confronter avec des cartes et des plans qu’on peut apercevoir sur chaque image prise.
Sur son carnet de route et d’écriture, Le Vent des rues, l’auteur Étienne Rouziès a lancé fin janvier un projet (...)