Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilNous n’avons pas peur des ruines, c’est écrit en toutes lettres sur le mur. Le mur se dresse en nous-mêmes.
La crainte est complice de la curiosité.
Il y a une suite d’images, la violence de ce qu’elle nous montre, ce qu’on ne veut pas voir, ce qui les réunit, les yeux dans les yeux, c’est cela qui donne l’envie d’écrire le texte, nous y pousse, en filigrane, mais rien ne vient. Cela exige du temps, de la patience. Je voudrais que le texte s’écrive seul, comme au rythme de mes pas les images (...)