Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLundi matin, alors qu’il ne restait que quelques minutes avant la fin de l’atelier sur la ville que je mène à Sciences Po, j’ai entendu la lecture du texte d’une étudiante qui a laissé une impression durable en moi. À la fin de l’atelier j’ai juste eu le temps de lui dire qu’elle devrait lire Un homme qui dort de Georges Perec, que son texte s’y rattachait d’une certaine manière. Elle m’a remercié en me disant qu’elle avait commencé à lire Espèces d’espaces qui est l’un des trois livres que les étudiants (...)