Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilAvancer entre ce clair et son obscur, entre ce sombre et sa brillance perdue.
« C’est le miroir et c’est le cadavre qui assignent un espace à l’expérience profondément et originairement utopique du corps ; c’est le miroir et c’est le cadavre qui font taire et apaisent et ferment sur une clôture - qui est maintenant pour nous scellée - cette grande rage utopique qui délabre et volatilise à chaque instant notre corps. C’est grâce à eux, c’est grâce au miroir et au cadavre que notre corps n’est pas pure et (...)