Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilJe vais me promener, tous les chemins me conduisent au même endroit. Une voie sans issue. Je l’écoute me parler. Il y a eu un mot. Ce qu’il me dit : il y avait ces lits. Ces lits séparés. Elle m’a même dit qu’elle allait foncer dans l’arbre. Et je ne peux m’empêcher de voir cette image de la voiture accidentée contre l’arbre. Je poursuis mon chemin. Je voudrais écrire en marchant. Au hasard du chemin, sans passer deux fois au même endroit. Il y a une encre qui pouvait effacer la vieille écriture et en (...)