Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Tous les mois, faire échange de vidéo. S’emparer des images et de la bande son, entrer en dialogue avec, sans nécessairement modifier le montage de la vidéo mais en ajoutant selon ses préférences (voix off, texte lu, improvisé, écrit sur l’image, ajout de sons, de musique), puis envoyer sa propre vidéo à son correspondant pour qu’il s’en empare à son (...)
Vases communicants : Angèle Casanova (Gadins et bouts de ficelles).
En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
« Voir Bobigny – Il n’y a rien à voir à Bobigny. – Pourquoi, ça n’existe pas ? – Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer. – Si ça (...)
Vases communicants : Olivier Hodasava (Dreamlands : carnet de voyage virtuel).
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Pour peu que l’on y soit préparé, on peut l’apercevoir du train quand on quitte Marseille en direction d’Aubagne, Toulon, Nice. C’est juste (...)
Vases communicants : Jacques Bon (Café du commerce). En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
― Nous avions encore ces vieux pardessus, et ces écharpes, nous qui ne connaissions encore ni le chaud, ni le froid, ni le vent et l’humidité, autrement que par leurs conséquences sur (...)
Vase communicant : Face Terres...
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... ruines que nous trouvions régulièrement sous les monceaux de verdure qui s’étaient chargés de faire disparaître rapidement les dernières traces de nos villes, de toutes nos vies d’avant, du monde tombé sur ses genoux et puis à terre et dont, il faut l’avouer, nous avions (...)
Vases communicants : François Bonneau (L’irrégulier).
En mémoire de Maryse Hache, de ses empreintes de bienveillance.
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C’est parfois domestique :
On aurait l’impression d’emmener une bête (...)
Vases communicants : Sabine Normand (texte et photographie).
J’ai rencontré Sabine à l’occasion des ateliers de création que j’ai menés à la médiathèque de Mauguio : Lire la ville. J’ai eu plaisir à suivre ensuite son blog au très beau titre : Tu as voulu voir la mer, avec pour sous-titre : Sur la terre comme au ciel. Très heureux de l’accueuillir sur (...)
Vases communicants : Emma Reel. En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
C’est connu, et débattu. Le numérique ne produit rien. Il ne s’agirait que de l’anamnèse du réel, son spectre, son souffle.
C’est connu, le numérique est froid. Il n’est d’ailleurs qu’à entrer dans une (...)
Pour une fois ce mois d’août je n’ai pas participé aux Vases communicants, mais comme presque à chaque fois, j’en fais le compte-rendu sur Scoop.it et Twitter.
En lisant ce matin l’ensemble des textes de ces vases communicants, j’ai sélectionné une série de phrases dans chacun, que j’ai ensuite mélangée et mixée afin de créer un nouveau texte façon (...)
Vases communicants : François Bon. En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Deuxième fois que François et moi échangeons pour les Vases communicants. La première fois, c’était en décembre 2009, je diffusais sur Liminaire son texte L’Amérique, tandis qu’il publiait mon texte d’une (...)
Vases communicants : Jeanne (Babelibellus). En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
(BO voyages immobiles de Daho)
d’une fenêtre de bureau, d’un antre... on aperçoit la montagne et les premières lueurs du soir. on s’efface disparaît devant
coquelicots... “gentils (...)
Vases communicants : Starsky. En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Écouter en ligne :
Vases communicants : Louise Imagine (Il pleuvra demain…). En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Elle lui avait alors demandé : « Où me faut-il aller ? »
Pour simple réponse il esquissa un pâle sourire, il aurait tout aussi bien pu grimacer tant son visage resta triste, voilé (...)
Vases communicants : Samuel Dixneuf (Lignées) En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Maintenant, la ville doit s’éloigner dans mon dos : je ne me retourne pas. Le cou tendu, je pédale de toutes mes forces. Comme si la ville allait me retenir. Comme si la ville m’avait enlacé (...)
Vases communicants : Cécile Portier (Petite racine) En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Mes pas sont longs comme le jour. J’avance, perpendiculaire à l’horizon. J’aurais pu regarder à ma gauche la mer si plate, dont la peau se déchire sur les blocs de béton. J’aurais pu (...)
Vases communicants : Christopher Selac (De l’autre côté du livre) En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits à cette occasion depuis le début de l’opération.
Son regard n’existe plus que pour elles. Radieuse, le monde autour d’elle s’évapore un instant, le soleil qui teinte d’or ses cheveux ondulés aussi : elle regarde ses bulles (...)
Vases communicants : Sandra Hinège (Ruelles) En savoir plus sur les Vases communicants et sur mes textes écrits dans ce cadre.
On trouve très peu de vrais garagistes, notre société n’encourage pas ce métier. Il n’existe aucune formation digne de ce nom, aucune voix royale n’y mène, si bien qu’il est convenu de dire que le métier ne s’apprend pas, pour (...)
Vase communicant : Candice Nguyen (The One Shot Mi)
En savoir plus sur les Vases communicants Gare de Brest, photographie de Pierre Ménard
Vase communicant : Chroniques d’une avatar
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Resterait l’oubli, ce grand calme plat à rebours des villes et des heures. Resterait encore le long fleuve monochrome et son silence brise-glace. Un silence boréal sans doute, un silence de faux pas, un silence cousu au revers des étoffes d’aubes.
À rebours des (...)
Vase communicant : déboîtements...
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Hier, ailleurs, casse du siècle. Préparatifs au moins. Décider sans attendre et à l’unanimité moins un que la vraie voie pour avancer c’est bien le niveau du bas : celui qu’on voit pas sur la carte. Voilà le plan, voilà l’envie, comme ça qu’on creuse. Littéralement même.
Le niveau du bas, celui qui chlingue, traverse la ville et qu’on voit pas. Départ (...)
25/08/2010. 15h00. À la hussarde. C’était le moment, ça venait, peut-être le temps de s’assoir devant et de se dire.
Tout allait recommencer, ça se voyait (les feuilles jaunes des cerisiers, les cosmos à pétales écarquillés, les tiges sèches des hémérocalles brandies, vaines, debout et vaines), ça recommencerait, surveiller la pendule, la montre, le radio (...)
Nous avons été chassés de la ville. Nous entrions dans les bars, commandions un café et dans l’après-midi la salle était à nous, chaise ou banquette, journal, miroir, rares discussions de comptoir dont nous notions des bribes parfois, croyant donner le change. Que ces notes servent ou non ne comptait pas. Il s’agissait de rester dans la ville loin des (...)
Je cherchais une Amérique, voilà qu’elle est ici devant moi et quand je marche, l’Amérique, elle est ce tapis et ciel et, au lointain, ce hérissement rare des villes, J’appelle Amérique ces ponts et ces fleuves, l’indifférence de ces avions et ce hurlement inutile des sirènes, j’appelle Amérique la distance d’un être à l’autre qui suppose qu’il y ait pour (...)
Je cherchais une Amérique, voilà qu’elle est ici devant moi et quand je marche, l’Amérique, elle est ce tapis et ciel et, au lointain, ce hérissement rare des villes, J’appelle Amérique ces ponts et ces fleuves, l’indifférence de ces avions et ce hurlement inutile des sirènes, j’appelle Amérique la distance d’un être à l’autre qui suppose qu’il y ait pour (...)
Exposer à Beaubourg, niveau quatre ou cinq, une machine au mécanisme visible, occupant un espace vaguement cubique de trois mètres de côté, toutes pièces en bois (sauf une) et quelques ficelles, ni métal ni électricité, mais : engrenages, arbres à cames, poids, contrepoids, articulations, bras. Le visiteur vient avec une feuille de papier, il peut (...)
La voix de Xabier Lete, râpeuse et tendre, pour célébrer ces paysages-là. Dire le temps à l’œuvre. Quelques planches abandonnées, jamais bien loin, pensée de la mort. Pourtant, comme autant de promesses, une trouée dans le ciel lourd, la douceur de la lumière et un horizon ouvert sur le large.
écrit par Élise Lamiscarre, dans le cadre du projet de vases (...)
Était-ce une Citroën ? je ne sais plus, l’une de ces minuscules voitures (vues d’ici) qui font penser aux boîtes à savon improvisées de mon enfance, qu’on tirait par des ficelles dans les corridors (corridors plus que couloirs oui) de la grande maisonnée paternelle. Au sortir de l’Ardèche, nous allâmes le long d’une route de campagne, nous quittâmes (...)
Electric Ladyland
cassette au fond d’un tiroir photo pochette découpée en magazine soigneusement recollée au carton titres recopiés Bic le nom sur la tranche
The Jimi Hendrix Experience
première face qui s’achève sur une intro harpsichord carillon venu buter au silence morceau avorté parce que Voodoo Chile si long quand 60 minutes de bande
Burning (...)
Tout paraît calme et florissant. Le ciel est un mirage pour initiés. Une plume vole. C’est la dernière note d’un soupir. Mais il fait nuit. On entend son pas gronder au loin. Mais tout a déjà été rendu il y a longtemps. Du plus loin de l’horizon une tache noire se met à grandir, soulevant la poussière. Il n’y a plus de mirage mais des rues. Soleil (...)
Être Pierre Ménard une journée, prendre le train, penser à autre chose (à quoi ? On ne sait pas). Passer par là, des villes, des champs, au-dessus de la Seine, et ces phrases hypnotiques dans lesquelles circuler, se souvenir des heures à ne pas dormir sans doute, à concevoir tout en même temps. Descendre du train, marchepied, quai, sortie, connaître ça (...)