Chantier place Stalingrad 4 décembre 2011 place Stalingrad sur Google Street View en août 200
Dans le Petit Journal du Tiers Livre de François Bon, je suis le journal des chantiers que tient Piero de Belleville de loin en loin dans les commentaires du site. Photographie de Piero Cohen-Hadria
fbg/bvd 05112011 7 décembre 16:09
le truc (...)
Je ne supportais pas qu’il ait aimé une autre femme au point de lui faire un enfant.
Je suis tranquille jusqu’à la prochaine inconnue qui débarquera dans la vie professionnelle de mon homme. Pourtant, il est gentil, il ne joue pas la-dessus.
Je découvrais un petit garçon inféodé à sa mère, incapable de se poser en tant qu’homme.
Dès qu’il évoquait sa (...)
Louise Imagine est photographe, elle a participé à trois reprises aux numéros de la revue de création d’ici là sur Publie.net :
Dans le n°4 : Le palimpseste de la mémoire est indestructible. Louise Imagine, série photo dans le n°4 de la revue d’ici là
Dans le n°6 : L’immobilité de celui qui écrit met le monde en (...)
Odradek, est un nom inventé par Kafka dans la nouvelle inachevée Le souci du père de famille (Die Sorge des Hausvaters). Il a été l’objet de toutes les interprétations et les détournements imaginaires possibles. il est à la fois une poupée et un prodige tombé du ciel, une mécanique de l’horreur et une étoile, une figure du disparate et un microcosme ; en (...)
J’ai mis en ligne ce texte il y a un an, cela faisait bien longtemps que je souhaitais écrire sur l’intérêt que je porte à Google Street View sans en trouver le temps. J’y pensais déjà en écrivant Vider la ville.
Je découvre aujourd’hui, par l’intermédiaire de Benoît Vincent et de son Petit traité d’itérologie, sur son site, l’étonnant carnet de voyage (...)
Pour Pierre, en souvenir de cette belle promenade... Chaufferie quai de la Marne sur Google Street View
Ces lieux que l’on connaît par cœur, chemin que l’on emprunte tous les jours pour aller faire ses courses, prendre son métro matin et soir, ces rues que l’on traverse, les visages des personnes qu’on y croise, qu’on salue parfois, les (...)
Harry Callahan, Providence, 1984
La méthode de Harry Callahan était de se balader tous les matins dans la ville où il vivait pour y prendre de nombreuses photographies. Je fais de même. Je veux voir combien de photographies différentes je peux rassembler en jouant avec les variations d’une même idée. Et passer ensuite toute mon après-midi à faire (...)
C’est l’automne, l’air est doux, on dirait la fin de l’été, l’hiver viendra subitement, et la neige avec lui, par surprise, un matin de novembre. Nous marchons l’un à côté de l’autre. D’un même pas. Nos bras le long du corps, se touchent, caresses discrètes, complices. Le ciel est bleu. Soleil étincelant. Rue droite aux immeubles hauts d’un côté, trois (...)
Qu’est-ce que j’entends, qu’est-ce que je comprends de ce que j’écoute, de ce qui se dit ?
Maintenant, je ne pense plus pour personne ; je ne me soucie même pas de chercher des mots. Ça coule en moi, plus ou moins vite, je ne fixe rien, je laisse aller, la plupart du temps, faute de s’attacher à des mots, mes pensées restent des brouillards. Elles (...)
J’étais invité vendredi 30 septembre et samedi 1er octobre, à participer au 2ème Salon du livre d’artistes, à Lucinges : "Matière(s) à lire, poésie à toucher" :
Fondé en 2009 autour de la donation de 107 livres d’artistes de Michel Butor, habitant de la commune depuis une vingtaine d’années, et de l’acquisition de la maison-forte dite « Château de (...)