Promenade photographique entre le tronçon de la Petite Ceinture au niveau de La Gare (salle de concerts jazz située au n°1 de l’Avenue Corentin Cariou, Paris 19ème) et le Parc de la Villette (Les jardins Passagers, jardin partagé, exposition photographique d’Adeline Care dans Le Jardin des miroirs (création de Bernard Tschumi), dans le cadre de Plaine (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Vivre est une chose, découvrir le langage afin d’exprimer (...)
Sur le navire, tu marches sans savoir où tu vas, tu avances au hasard, le chemin que tu empruntes est toujours le même, malgré toi, tu suis aveuglement ce qui est écrit, le plan dessiné que tu déchiffres non sans mal. Sur le navire, tu poursuis ton chemin. Les murs qui t’entourent sont trop hauts pour te permettre de voir au loin, l’horizon est (...)
Ce texte a été écrit en suivant le proposition d’écriture sur les chemins de traverse et les récentes propositions de l’atelier d’écriture en ligne de Laura Vasquez.
Je sors. Dans la rue, la grille de l’immeuble, automatique, dans mon dos. Toujours étonné, tant de monde le matin. Je traverse en dehors du passage-piéton, aucune voiture à l’horizon, (...)
Un décalage entre ce que j’ai compris au départ, l’annonce d’un confinement annoncé à demi-mots qui me rendait impossible de profiter de l’instant, en voyant tout le monde dehors, indifférent à la propagation du virus, n’ayant pas compris ou faisant semblant de ne pas comprendre l’urgence de la mise en place du confinement, qui se promenait ou (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Il faut discuter longtemps (...)
L’air fait du bruit en passant au creux de l’oreille. Rien n’est si quelque chose paraît. Par-dessus tout par-dessus. Distance heureuse prétendent certains. Une timide lumière, un trait de soleil tiède. Le réel se refuse et nous prévient parfois par effractions. Une journée d’embardées, comme je l’avais imaginée. Tout n’est enfin qu’ordre et beauté. (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
On se demande comment ça (...)
La forme détournée de l’abécédaire est un genre voué à la célébration de l’acte créateur (le livre des livres). Cette année j’ai décidé d’aborder l’abécédaire par la vidéo. Deux fois par mois, je diffuserai sur mon site, un montage d’extraits de films (à partir d’une sélection d’une centaine de mes films préférés : fiction, documentaire, art vidéo) assemblés (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Borges, Fictions
Impénétrable, indestructible. (...)