Chaque jour, un film d’une minute environ, chaque lundi, la compilation du journal vidéo de la semaine précédente, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” »
Jorge Borges, Fictions
Je tourne le dos au soleil. À l’intérieur (...)
Chaque jour, un film d’une minute environ, chaque lundi, la compilation du journal vidéo de la semaine précédente, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” »
Jorge Borges, Fictions
À chacun d’entrevoir cette ombre ou cette aube (...)
Chaque jour, un film d’une minute environ, chaque lundi, la compilation du journal vidéo de la semaine précédente, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” »
Jorge Borges, Fictions
Couleurs, formes, images, collages, accidents (...)
Chaque jour, un film d’une minute, chaque lundi, la compilation du journal vidéo de la semaine précédente, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” »
Jorge Borges, Fictions
Un récit sans début ni fin. Le temps manque pour (...)
Chaque jour, un film d’une minute, chaque lundi, la compilation du journal vidéo de la semaine précédente, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” »
Jorge Borges, Fictions
Rien n’est simple et les choses nous échappent souvent. (...)
Il y a quelques mois, mes filles m’ont demandé si je me souvenais d’un film que nous avions vu en famille lorsqu’elles étaient enfants. Elles m’ont décrit avec précision les dernières images du film. Sur une plage déserte, au moment du coucher de soleil, un homme s’avance seul vers la mer sans s’arrêter et disparaît dans les vagues.
Cette image les (...)
Ces courts poèmes offerts sous forme de petits livres reliés à Caroline pour son anniversaire le 1er janvier ont été découpés façon cut-up dans les pages d’un vieil exemplaire du livre de William Faulkner (traduction de Maurice Coindreau) : Le bruit et la fureur.
Après avoir suivi la longue aventure de l’atelier d’été 2018 qui s’est achevé avec la publication du livre, François Bon a reconduit un atelier d’écriture en ligne cet hiver autour de la construction d’une nouvelle.
Le premier atelier propose de convoquer des images mentales (à partir de Henri Michaux), en rêvant à partir de peintures énigmatiques. (...)
Cela fait longtemps que je lis le blog texte et photo de Céline Saby que j’apprécie pour la sensibilité, la beauté de ses images et le troublant récit d’un quotidien décrit avec franchise et sensualité : Ma vie et celle des autres.
Elle expose jusqu’au 23 septembre, au 59 rue Notre Dame de Nazareth, à Paris dans le 3ème arrondissement. Cette exposition (...)
Un père qui élève seul ses trois enfants, apprend que son fils, un adolescent de 13 ans, autiste, a été agressé en sortant de l’école, devant l’arrêt de bus, par un élève plus âgé que lui et vient d’être hospitalisé.
Le livre de Philippe De Jonckheere, se construit autour de son titre : Raffut. Au rugby, sport pratiqué par le père et son fils, le raffut est (...)