Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilArracher tout horizon comme toute assise, sans jamais les punir tels qu’à l’heure du Retour ils t’effacent. Contre les préjugés du global, les mépris qu’ils engendrent, les déracinements qu’ils gèrent, sachons ne jamais oublier que, oui, il y a, il y aura toujours des territoires, des appartenances, des paysages, des langues, des espaces pétris de temps, voués à qui perdure, à jamais soustraits aux équations de la matière, du profit, du pillage, de la valeur, de l’usure, de l’aliénation : nos pensées, (...)