Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilIl y a des jours qui sont quand même pires que les autres. Le sentiment de perdre un repère. Peut-être seulement un mot, son absence. On parle beaucoup de violence, dans la monde d’aujourd’hui. Ce qui fascine en même temps que d’effrayer un peu. Mais il n’y a qu’un saisissement, d’angoisse ou d’émerveillement. Celui du risque que prend la vie pour sa propre couleur. Pour ma part je reste fidèle au bleu. À cette hauteur on est forcément détaché, semble-t-il. Ce qui m’intéresse cette fois, c’est de parler (...)