Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilD’être qui tu es, le délire en bout de piste ne suffit plus. Ni le temps, cette vieille fille. Ni cette banquise à détisser. Pas même un beau lâcher de faucons. Depuis que la dialectique a loupé la dernière marche, un sommeil narquois , en attente de vide...Ou alors débris d’un paysage, cuir des nuits rutilant dans la coulisse, à l’orée aplanie des tempes, toi flattant la monstrueuse encolure... Ni ailleurs, ni là. Compter les cylindres, les tours-minute, les vibrations. Congédier. Et puisque le neutre (...)