Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.

| Accueil
LIMINAIRE
Vous commentez
3 avril 2005, par Pierre Ménard

« Hélas, mon récit dégénère en un journal. Pourtant, il n’y a rien faire ; j’ai pris l’habitude d’écrire, au point que je suis maintenant incapable d’y renoncer. Un journal, je l’admets, est la forme la plus basse de la littérature. »
La méprise, Vladimir Nabokov, Gallimard, Collection Folio n°2295, 1991, p.247.

LIMINAIRE le 17/04/2024 : un site composé, rédigé et publié par Pierre Ménard avec SPIP depuis 2004. Dépôt légal BNF : ISSN 2267-1153
Flux RSS Liminaire - Pierre Ménard sur Publie.net - Administration - contact / @ / liminaire.fr - Facebook - Twitter - Instagram - Youtube