Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilDans le miroir c’est dimanche, un chemin cahoteux à travers champs, le bruit d’une rivière dans la chaleur de l’été, rouler à vélo sans les mains, le vent frais sur le visage, les yeux lourds plein de fatigue qu’on se force à maintenir ouverts pour ne pas aller dormir, sur les murs les ombres des arbres qui dansent, les pas sur la neige, l’odeur de la glycine, la chaleur d’une tasse café, le temps suspendu de la lecture, dans la rue déserte à cause de la chaleur les bruits des intérieurs, conversations à (...)