Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilChaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
On se demande comment ça pourrait finir. Se faufilant plus bas, la musique clôt un cadre d’espace nous maintenant au bord de ce qui tombe. Ce n’est pas le chemin, c’est la difficulté (...)