Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilTexte écrit à deux mains avec Caroline Diaz, dans le cadre des ateliers d’été Pousser la langue de François Bon.
pour parvenir à se raconter dehors c’est l’hiver encore le soleil de février éclabousse où se balancent les portes coupe-feu un jour sans masque il faut du temps s’esquiver à peine abandonner le groupe sous un fallacieux prétexte se retrouver (...)