Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilTexte écrit dans le cadre du 1er atelier d’écriture « pousser la langue » proposé par François Bon.
C’est au moment où tu chutes accidentellement, ton corps allongé par terre, que tu te rends comptes de l’inconfort de cette position et de son incongruité, tu n’es jamais obligé de te mettre à genou, de t’allonger au milieu des autres, de te plaquer au sol, car comme tous les autres tu passes tes journées debout, dans l’action, en mouvement, toujours en alerte, à l’affût, et les rares fois où tu finis par (...)