Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilPrendre des photographies et réaliser des films c’est une même façon de se libérer du temps, de sa linéarité, de montrer le rythme singulier de chaque mouvement, d’en capter les moindres secousses en guise d’écho, de résonances intérieurs, ce lieu intime et ténu entre les êtres et les lieux, de créer un langage libéré des codes de la narration classique, à la manière d’un collage : un assemblage.
En 2013, j’ai écrit Abécédaire des prépositions, un éloge de l’abécédaire au pied de la lettre. La forme détournée (...)