Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| Accueil« Fut un temps où la sauvegarde de nos vies (sauvegarde au sens informatique qu’on lui prête aujourd’hui), écrit Guillaume Vissac dans sa présentation de l’ouvrage collectif Surveillances, édité par Publie.net, était l’apanage des artistes, et notamment des écrivains. Mais, à l’heure de la surveillance de masse, des réseaux sociaux et des algorithmes invasifs, si nos vies sont suivies en temps réel, serons-nous encore capables de les écrire ? » Le projet de loi relatif au renseignement a été soumis au (...)