Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn citant Georges Perec et son Je me souviens en introduction d’Oslo, 31 août, qu’Arte diffusait il y a quelques jours, l’excellent film du réalisateur norvégien Joachim Trier s’élance dans un entrelacs polyphonique de voix et de souvenirs de la capitale norvégienne. Ce leitmotiv est ensuite repris au milieu du film quand Anders, le personnage central, luttant avec lucidité contre ses pulsions de mort, face à l’impossibilité de concilier ses rêves d’enfant avec une vie qui en vaille la peine à l’âge (...)