Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.

| Accueil
LIMINAIRE
Vous commentez
17 juin 2015, par Pierre Ménard

En citant Georges Perec et son Je me souviens en introduction d’Oslo, 31 août, qu’Arte diffusait il y a quelques jours, l’excellent film du réalisateur norvégien Joachim Trier s’élance dans un entrelacs polyphonique de voix et de souvenirs de la capitale norvégienne. Ce leitmotiv est ensuite repris au milieu du film quand Anders, le personnage central, luttant avec lucidité contre ses pulsions de mort, face à l’impossibilité de concilier ses rêves d’enfant avec une vie qui en vaille la peine à l’âge (...)

LIMINAIRE le 19/04/2024 : un site composé, rédigé et publié par Pierre Ménard avec SPIP depuis 2004. Dépôt légal BNF : ISSN 2267-1153
Flux RSS Liminaire - Pierre Ménard sur Publie.net - Administration - contact / @ / liminaire.fr - Facebook - Twitter - Instagram - Youtube