Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| Accueil« Arrivant à un de mes recoins favoris qui combinait magiquement un libre flot de soleil avec la protection des arbrisseaux, je me mettais complètement à poil et m’étendais sur le dos sur la couverture, plaçant mon maillot inutile sous ma tête. Grâce au bronzage qui me couvrait entièrement le corps (de telle sorte que seuls mes talons, mes paumes et les lignes comme des rayons autour de mes yeux gardaient leur teinte naturelle), je me sentais un athlète, un Tarzan, un Adam, comme vous le voudrez, (...)