Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.

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LIMINAIRE
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24 juillet 2014, par Pierre Ménard

« Au début, la jeune fille de la Dauphine aurait bien voulu compter les heures, mais l’ingénieur de la 404 n’en voyait pas l’intérêt. tout le monde pouvait regarder sa montre mais c’était comme si ce temps attaché au poignet ou le bip bip bip de la radio mesurait autre chose, par exemple le temps de ceux qui n’avaient pas fait la bêtise de vouloir rentrer à Paris par l’autoroute du Sud un dimanche après-midi et qui n(avaient pas dû, dès après Fontainebleau, se mettre au pas, s’arrêter, six files de chaque (...)

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