Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLes lumières s’éteignent, le piano se met à jouer tout seul. Plan fixe sur des couloirs vides, des vérandas désertes mais aussi sur des paysages inhabités, des arbres isolés, quelques rares fleurs, un poteau télégraphique, du linge qui sèche au vent.
On dit juste ajournement le temps de faire retomber la pression. Mettons à part la question des bons sentiments et regardons les faits. Entre ces deux-là, l’entente cordiale tient de la nécessité. D’abord, nous ne sommes pas du tout dans une logique de (...)