Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLe retour n’est jamais le retour. Les mouches, toujours, et le feuillage. Sauf mention contraire, toutes les citations de ce texte sont extraites de La ville vide, de Berit Ellingsen, traduit par François Bon sur Publie.net. « Quand le film se termina sans la scène, il fut surpris. Il se rappelait chaque détail : les personnages, le dialogue, les mouvements de caméra, les intervalles des plans. Puis il rit. Le meilleur moment, du film, il l’avait inventé après avoir vu le film pour la (...)