Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilPour marcher dans le vide, il faut se construire un chemin. J’aime laisser faire les choses et j’ai toujours peur de peser. Comme tout passe, cela passera aussi. La vie, comme elle jaillit et nous éclabousse. Je crois, mais ma mémoire est défaillante. Sentiment cruel d’avoir perdu mon temps, de l’avoir utilisé à mauvais escient, de l’avoir consumé en vaines rêveries. Il faut écrire la légende de notre passé, dans laquelle nous espérons être absorbé par le regard rétrospectif du futur. On reste toujours (...)