Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilPour Pierre, en souvenir de cette belle promenade...
Ces lieux que l’on connaît par cœur, chemin que l’on emprunte tous les jours pour aller faire ses courses, prendre son métro matin et soir, ces rues que l’on traverse, les visages des personnes qu’on y croise, qu’on salue parfois, les terrasses des cafés, ces lieux que l’on parcourt en tous sens mais qu’on ne voit plus vraiment. De loin en loin on remarque parfois un immeuble, une rue, en travaux, il faudrait prendre le temps de les prendre en (...)