Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| Accueil« Peut-on imaginer ainsi que la valse des sujets, de ses migrations, est la valse de la parole vivante ? demandait Mathieu Brosseau dans son entretien avec Armand Dupuy sur Remue.net. Mais qui parle ? Nous revenons là au « je » multiple dont je parlais au début de l’entretien… Le soi se disloque, se remembre, on ne sait jamais qui parle, il est multiple et dynamique, tour à tour, il est le vent et le sable. Il est l’obstacle puis la parole, ou l’inverse, dans la succession. » Écrit sous la forme (...)