Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilJ’ai une longue histoire de lecture (et d’écriture) avec le livre de Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, j’ai donc suivi avec grand intérêt de la travail artistique de Véronique Aubouy autour de l’œuvre de Proust, Proust lu tout d’abord (enregistrant une lecture dans l’ascenseur du Centre Georges Pompidou, quel souvenir !), puis Le baiser de la matrice. Véronique Aubouy relance le second projet pour le clore enfin : Le Baiser de la Matrice fonctionne depuis 853 jours, 2433 pages (sur 3424) (...)