Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilPas plus de traces que de preuves : seule, l’indue gratuité des passages. Ô les gestes de craie, le périple des souffles sur le dernier promontoire – ces enfants aplatis, déguisés, dedans l’assèchement qui n’accueille pas. (Non pas un quelconque but, mais le BOUT : car il ne se peut pas qu’un homme se soit autant plongé dans la dévastation sans l’atteindre.) Remonter aux sources de l’exil, au cuivre d’aucune saison, à la fatigue des débuts. Le déclin est loin. Nous nous retrouverons, compagnons, pas sûrs (...)