Lire pour n’être plus soi. Donc, même tout gosse, je lisais tout, je continue d’ailleurs. Si mes parents me disaient : « On n’a pas le droit de lire à table », je continuais. Je lisais les étiquettes des bouteilles de bière, je lisais les étiquettes des boîtes, parce que pour moi si c’était écrit c’est que c’était important, donc je continue ça. Qu’on (...)
Un langage
Ce que la langue laisse entendre : à mots couverts :
Lacis de ruelles qui tracent des itinéraires invisibles à la surface.
Vent qui brûle. C’est à ce moment-là.
Mais il n’existe pas de meilleure façon pour décrire une ville, découvrir chacune de ses strates, que les investigations d’un détective.
La profondeur d’une flèche violente
Dans (...)