C’est pour Pompei que j’ai eu l’idée la première fois de ce voyage à Naples. Je voulais voir cet endroit avec une envie irrésistible. J’avais oublié ou ne voulais pas y penser, qu’il s’agissait d’une destination si touristique, en arrivant nous avons été cueillie par la file d’attente d’une centaine de mètres, mais nous nous sommes vite rendus compte que (...)
Tentative un peu désespérée ce matin de trouver un bateau qui nous mène à Capri depuis l’embarcadère de Mergellina qui se trouve près de l’endroit où nous habitons cette semaine à Naples.
Sur place, le soleil inonde l’embarcadère, mais aucun navire ne partira d’ici en ce lundi de pâques tous les stands sont fermés. Nous reportons notre croisière à plus (...)
Le taxi roule à grande vitesse sur les boucles de l’autoroute qui traverse la banlieue napolitaine et relie l’aéroport au centre ville avec une rapidité extraordinaire et un léger surcoût. Le véhicule se laisse rouler le long du serpentant Corso Vittorio Emanuele, tout en virage et boucles élégantes, puis descendant doucement vers Mergellina parvient en (...)
Une série de douze ateliers d’écriture durant le deuxième semestre des étudiants en première année de Sciences Po, ayant pour but de procéder à l’écriture collective d’une pièce sonore sous la forme d’un récit urbain (entre audioguide, audiolivre et dérive urbaine situationniste).
Les objectifs pédagogiques et les contenus des ateliers artistiques sont (...)
Invité par Pascal Jourdana de la Villa Marelle à participer au Colloque Pour Cortázar qui se déroule en 2014 à Marseille, Fontevraud et Paris, sous la direction scientifique de Sylvie Protin, j’interviens, le vendredi 4 avril à 10h. aux Bancs Publics, pour la table ronde sur Les Autonautes de la cosmoroute : un espace dilaté, avec Roberto Ferrucci (...)
Pourquoi je devrais m’en cacher ? j’aime les cimetières, leur calme, leur ordonnancement, nichés au cœur des villes, dans la discrétion de leur grands murs d’enceinte en meulière, leurs rangées d’arbres centenaires, les chats qui s’allongent sur la pierre chauffée par le soleil, les vieilles dames qui entretiennent, à leur rythme, la tombe de leur époux (...)
Création de capsules sonores à l’occasion d’une série de douze ateliers d’écriture menée avec les étudiants en première année de Sciences Po, ayant pour but de procéder à l’écriture collective d’une pièce sonore sous la forme d’un récit urbain (entre audioguide, audiolivre et dérive urbaine situationniste).
Entre les séances d’écriture, les étudiants ont (...)
Les guerriers Bantou de l’artiste Kouka Ntadi sur un immeuble abandonné du Boulevard Saint-Martin. L’artiste y voit plusieurs significations.
« Le guerrier bantou est à mon sens un symbole de retour à notre nature humaine. Bantou signifie humain en langue Kongo. Ce terme désigne également un ensemble de peuples vivant entre le Cameroun et (...)
C’est un privilège, une chance inouïe, une occasion à ne pas rater, entrer dans ce repli du monde, cette cache soigneusement protégée, cachée, dissimulée, qu’on ne peut atteindre en ville qu’accompagné, guidé, par une personne avec ses entrées, le code à la clé. Je suis resté un long moment derrière les grilles, souhaitant entrer mais ne le pouvant pas, (...)
La nécessité de s’éloigner du point de départ le plus vite possible, d’échapper aux terrasses accueillantes des cafés, à l’activité commerçante du jour et du lieu, Place d’Italie, sur le terre-plain juste à quelques volées de marches du Centre commercial Italie Deux et de ses 130 magasins et restaurants, où de nombreuses personnes se sont donné rendez-vous, (...)